Mois: février 2014
A MEDITER
Par défautDe tous temps des écrivains, des auteurs, des poètes, des chanteurs ont offert l’amour qui existait au fond de leur coeur. Ils ont pu critiquer les puissants, ils sont pu dénoncer la corruption, ils on pu faire passer des messages de tolérance et d’amour que tous les êtres humains devaient savoir partager. Pour toutes ces personnes là, la priorité c’est de donner de l’amour, de la joie, de l’espoir et non pas de discriminer sur les orientations sexuelles des gens ou la couleur de peau d’un autre. Ce que beaucoup ne veulent comprendre c’est que encore des chanteurs, des auteurs, des poètes ou des écrivains dont la petite que je suis passeront leur temps à clamer l’amour entre les races, ce n’est qu’à ce prix que nous pourrons sauver notre humanité.. A force de haine, de ségrégation, de violence, homophobie, de racisme à tous les niveaux, nous les humains nous détruisons petit à petit ce que nous sommes, j’ai dit des êtres humains à parts entières passent par le respect et la tolérance de l’autre !!! Alors méditons ensembles aujourd’hui et conduisons nous comme des êtres civilisés, autrement je vais vraiment pensé que certains devraient rester accrocher à leurs cocotiers jusqu’à ce qu’ils se déracinent les jours de grands vents emportant avec eux leur connerie !!! Hé oui c’est la vie, mais c’était mon coup de gueule de ce jour !!! K.S.A.
IL S’EST ASSIS
Par défautIl s’est assis à même la terre
La terre de ses ancêtres
Ancêtres dont il est très fier
Fier de ses racines dans tout son être
Il ne comprend pas la violence
De ses frères et ses amis
Il pensait en toute innocence
N’avoir que des proches ennemis
Il a posé sa tête dans ses mains
Il a pleuré pendant longtemps
D’un assourdissant et lourd chagrin
Sur le sang des innocents
Ces innocents qui étaient là
Au mauvais endroit, mauvais moment
Tous ceux qui ne savaient pas
Qu’allait encore couler le sang
Il s’est assis complètement épuisé
Epuisé des combats, les nuits sans sommeil
Sommeil qu’il ne peu plus trouver
A cause de tout ce qu’il a supporté
Le déchirement des chairs meurtris
A grand coups de machette
Quand d’autres utilisaient des fusils
Dans une guerre ethnique et bête
Il s’est assis au milieu des corps
Le corps d’un frère, d’une femme aimée
Il s’est assis près des morts
Pour entendre leurs rires, il aurait tout donner
Il se revoit sous le grand baobab
Palabrant de choses et d’autres
Il entend le chant des enfants là-bas
Mais cette guerre à qui la faute
Il s’est assis à côté des cadavres
Pour y pleurer pendant longtemps
A présent tout ce qui le navre
C’est de ne pas retrouver sa maman
Sa maman qui a sacrifié
Pour lui une partie de sa vie
Une maman qui l’ a élevé
En oubliant elle même sa vie
Il s’est relevé d’une allure altière
La haine pour lui n’est pas génétique
Lui qui était assis par terre
S’est relevé pour son Afrique
K.S.A. – 25.02.14 – 30-12
LES PARENTS
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